martes, 26 de junio de 2012

Yelle - Que veux tu



Ils se croisent tous les jours comme un couple en amour
Elle lui sourit légèrement avec un tas d’arrières pensées
Regarde toujours où il va, ce qu’il fait
dans son retroviseur mais elle n’a jamais osé

Quand elle ne le voit pas un matin, elle s’inquiète
comme si il lui appartenait un peu dans sa tête
Elle n’a jamais ne serait-ce que baissé sa fenêtre
Il ne s’en rend même pas compte à croire qu’il est bête

Que veux-tu ? Je suis folle de toi
Mon cœur ne bat plus quand je te vois
Tu es beau, tu es grand, tu es fascinant
T’as des chevaux, des poneys, faisons des enfants

Quelle issue y a-t-il pour moi ?
Mon corps ne bouge plus quand j'entends ta voix
Tu es chaud comme un gant autour de mes doigts
et ton regard de braise est tellement froid

Jamais un simple hochement d'tête
comme un adolescent timide dans une fête
« J’adore vraiment ton style, comment tu t’habilles »
Je n’suis pas sûre que cette première phrase serait habile

J’aimerais déjà te dire « Je t’aime » sans consonne ni voyelle
Les choses se feraient d’elles-même, j’ai la flamme et la flemme
Dis moi qu'il n'y a personne, d'autres que c'est de ma faute
Tu attends que je viennes

J’aimerais déjà te dire « Je t’aime » sans consonne ni voyelle
Les choses se feraient d’elles-même, j’ai la flamme et la flemme
Dis moi que tu es fort comme cet étalon noir à côté de ce chêne

Que veux-tu ? Je suis folle de toi
Mon cœur ne bat plus quand je te vois
Tu es beau, tu es grand, tu es fascinant
T’as des chevaux, des poneys, faisons des enfants

Quelle issue y a-t-il pour moi ?
Mon corps ne bouge plus quand j’entends ta voix
Tu es chaud comme un gant autour de mes doigts
mais ton regard de braise est tellement froid

Charismatique, jambes magnifiques
Trèfles à quatre feuilles sous les chevaux au galop
Cet homme qui pique, sa force hippique
a touché mon cœur dans sa chemise à carreaux

Que veux-tu ? Je suis folle de toi
Mon cœur ne bat plus quand je te vois
Tu es beau, tu es grand, tu es fascinant
T’as des chevaux, des poneys, faisons des enfants

Quelle issue y a-t-il pour moi ?
Mon corps ne bouge plus quand j’entends ta voix
Tu es chaud comme un gant autour de mes doigts
mais ton regard de braise est tellement froid